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Siao Weixi

CHRETIENNE DE SIAO AVEC AU COU LA PETITE THERESE
PP BONNEMIN ET COQUOZ ET DEUX ADOS

PROJET D’HOSPICE

Projet d’hospice sur la ligne de partage des eaux Mékong-Salouen.

Le but principal de la Congrégation fondée par Saint Bernard de Monjoux est de créer des Hospices aux abords des cols pour venir en aide aux voyageurs.

Messieurs les Chanoines Melly et Coquoz et leurs collaborateurs, le frère Duc et Monsieur Chappelet, tout en se préparant à Weisi, par l’étude de la langue chinoise à leur ministère de charité, ont, en 1931 et en 1933, cherché un site convenable à la construction de l’Hospice en projet.

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Dali = 2000 habitants en 1933.

Le premier Vicaire apostolique de Lhassa, soit Monseigneur Jacques Léon Thomine-Desmazures résida à Dali de 1857 à 1861, puis à Tatsienlou (Sichuan). Le pouvoir est délégué pour la partie des missions des marches Thibétaines au Curé de Tsechung. (Tsechung – Tatsienlou = 32/33 jours de marche)

Weixi

Altitude 2’350m

C’est vers 1918 que le Père Jules C. Van Eslande (MEP), curé de Siao Weisi, achète une parcelle de terrain à Weisi. Une résidence est édifiée en 1920.

C’est à Weisi qu’est constitué le centre de la Mission du St-Bernard et où se trouvait le premier supérieur Pierre-Marie Melly, puis après la rentrée en Suisse de ce dernier pour ennuis de santé, le chanoine Cyrille Lattion. (En 1933, ils ont été accueillis par le Père Victor Bonnemin (MEP)).

Selon Maurice Tornay, le Bourg de Weisi était, en 1936, à peine plus gros que Reppaz et un peu plus petit que Liddes.

Ce lieu avait été choisi notamment pour faciliter les démarches en vue de l’obtention d’un permis de construire l’Hospice au Latsa. A Weisi se trouvait une sous-préfecture administrative avec un mandarin de deuxième classe.

VIERGES INSTITUTRICES ET LEURS ELEVES

Dali – Weisi dans les années 1930/1940 = 25 jours aller-retour, aujourd’hui quelques heures!

WEIXI ET HOUALOPA

Maurice TORNAY est resté deux ans à Weixi pour achever ses études.

Le prévôt Théophile Bourgeois avait une telle estime de la valeur intellectuelle et morale du chanoine Maurice Tornay qu’il assurait le P. Melly qu’il n’aurait aucune difficulté à achever ses études par lui-même, avec le secours des seuls manuels de classe…

Cependant, le P. Melly désigna le P. Cyrille Lattion, compagnon de route du chanoine Tornay, pour lui faire régulièrement la classe sur l’ensemble des disciplines théologiques.

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