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L’étude du chinois

Je vous disais, l’année dernière, que je pensais à lui pour le Probatoire, et à Monsieur Lattion pour Latsa. C’est pourquoi, le premier se mettra bientôt à l’étude du thibétain, et le second à celle du lissou”. (Weisi, le 6 avril 1937) (page 37)

“L’étude du chinois se fit en même temps que sa théologie. A cause de sa grande facilité, il se permit une méthode spéciale : l’étude directe du lexique à la fin du dictionnaire Debesse. Je trouvais cette méthode abrutissante et lui en fis la remarque”. (page 37)

Il annotait en différentes couleurs les mots les plus difficiles à retenir. Il les reprit la deuxième année. A la fin de la deuxième année, il possédait parfaitement les sept mille caractères chinois”. (page 37).