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Rencontre avec Bernard Marie

Nous avons eu la joie de le rencontrer à Dali la première fois en été 1998, puis nous avons passé une semaine ensemble en été 1999, il nous a montré Weixi, Siao Weixi, Patong et Tsechung. Il vivait dans cette dernière résidence, il faisait le catéchiste dans les chrétientés du Haut Mekong et aussi de la Haute Salouen.

Il nous a offert sa chambre et nous a montré son appareil radio qui lui permettait d’écouter régulièrement les enseignements de «radio vatican» en langue chinoise.

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Echange de lettres entre le Ch. Lovey et Bernard Marie, 1998

via Mme Engeline Mol-Tromp, hollandaise habitant Tokyo

1ère lettre de Mme Engeline Mol-Tromp au Père A. Lovey


Tokyo, le 14 octobre 1998

Cher Monseigneur,

Vous devrez bien être surpris de recevoir une lettre venant de Japon de la part d’une personne inconnue. Cependant ci-inclus vous trouverez une lettre de quelqu’un que vous connaissez depuis longtemps, M. Bernard Marie Kiang.

Laissez-moi expliquer comment nous (mon mari et moi) sommes arrivés en Chine. Je veux d’abord me présenter. Moi, je suis Engeline Mol-Tromp, agée de 57 ans. Je suis mariée avec Jacobus Mol, 58 ans. Nous sommes hollandais de nationalité. Comme mon mari travaille à l’Ambassade des Pays-Bas à Tokyo, nous habitons ici.

Cet été nous sommes allés en vacances avec des amis hollandais, 14 personnes au total. Nous avons visité beaucoup de sites historiques, temples, grandes villes comme Beijing, Shanghai et Guangzhou et aussi Dali.

En nous promenant dans cette charmante petite ville chinoise, nous sommes aboutis sur une plaque annonçant ‘Catholic Church’. Comme nous sommes catholiques de religion et curieux de savoir comment une église chinoise ressemblait, nous sommes entrés sur le parvis de l’église. Et voilà que nous avons rencontré M. Bernard Marie. Il s’avançait de nous tout souriant. Il nous avait parlé de tout, de l’église, de son passé, de sa paroisse.

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Les Tibétains catholiques, « fous de Dieu » en Chine communiste

Des paroissiens prient dans une église catholique de Nidadang, près de Bingzhongluo (Tchrongteu sur le site), une région tibétaine de la province chinoise de Yunnan, dans le sud-est du pays.

Quand on pousse la porte de l’église chinoise de Baihanluo (Bahang sur le site), on est accueilli par un grand portrait du pape François: un sacré paradoxe dans ces montagnes peuplées de Tibétains, gouvernés par un Parti communiste, donc athée.

Adossé au massif himalayen, le village de Baihanluo n’est accessible qu’à pied ou à cheval(cf site), par un sentier muletier que l’on gravit en cherchant son souffle, les yeux rivés sur les sommets enneigés.

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